36 heures, voilà ce qu'il m'aura fallu pour rejoindre cet énorme pays qu'est l'Australie et Sydney sa ville principale.
Mon premier vol débute à midi ce mercredi 13 janvier et je suis bien heureux de constater que l'avion est presque vide. Après que tout le monde ai embarqué je saute sur la première rangée de 4 sièges vides et y resterai tout au long de ce premier vol. Oui, il était si peu rempli que j'ai pu m'allonger de tout mon long sur ces 4 sièges et ainsi dormir presque tout le voyage. Deux plateaux repas et un film plus tard me voilà à Shanghai pour une escale de près de 13 heures.
Mon premier vol débute à midi ce mercredi 13 janvier et je suis bien heureux de constater que l'avion est presque vide. Après que tout le monde ai embarqué je saute sur la première rangée de 4 sièges vides et y resterai tout au long de ce premier vol. Oui, il était si peu rempli que j'ai pu m'allonger de tout mon long sur ces 4 sièges et ainsi dormir presque tout le voyage. Deux plateaux repas et un film plus tard me voilà à Shanghai pour une escale de près de 13 heures.
D'ailleurs la mauvaise surprise est de devoir sortir de la zone de transit, récupérer mon sac en soute et de devoir se réenregistrer pour mon second vol. Bien entendu cet enregistrement ne se fera que 7 heures plus tard et je dois me trimbaler mon énorme sac pendant ce temps. Heureusement je trouve une consigne qui me le garde pour 4 à 10 heures pour 30 yuans (moins de 5 euros), pas mal pour pouvoir se balader dans l'aéroport.
Boire un tout petit café et bien dégueu coûte plus cher que la consigne et à peine moins cher qu'un repas complet, assez bizarre leurs prix mais bon, ce n'est pas trop cher en comparaison des prix de l'aéroport de Paris.
J'aurais pu sortir visiter la ville si j'en avais envie mais la couleur du ciel ne me disais rien du tout, ce n'était pas les risques de pluie mais la pollution bien visible à l’œil nu. Je suis d'ailleurs sorti prendre l'air deux minutes et mes poumons en ont pris un sacré coup, l'odeur est abominable et bien trop prenante. Je décide donc de rester dans l'aéroport jusqu'à l’enregistrement.
Après avoir pu prendre mon second billet et envoyé mon sac en soute je rentre dans la zone internationale est le moins qu'on puisse dire c''est que c'est grand. Près de 100 portes et des magasins, cafés, restaurants partout. Je erre dans cette grande zone pendant quelques heures et tombe sur un coin dont je n'aurais pas soupçonné l’existence dans un aéroport.
Boire un tout petit café et bien dégueu coûte plus cher que la consigne et à peine moins cher qu'un repas complet, assez bizarre leurs prix mais bon, ce n'est pas trop cher en comparaison des prix de l'aéroport de Paris.
J'aurais pu sortir visiter la ville si j'en avais envie mais la couleur du ciel ne me disais rien du tout, ce n'était pas les risques de pluie mais la pollution bien visible à l’œil nu. Je suis d'ailleurs sorti prendre l'air deux minutes et mes poumons en ont pris un sacré coup, l'odeur est abominable et bien trop prenante. Je décide donc de rester dans l'aéroport jusqu'à l’enregistrement.
Après avoir pu prendre mon second billet et envoyé mon sac en soute je rentre dans la zone internationale est le moins qu'on puisse dire c''est que c'est grand. Près de 100 portes et des magasins, cafés, restaurants partout. Je erre dans cette grande zone pendant quelques heures et tombe sur un coin dont je n'aurais pas soupçonné l’existence dans un aéroport.
Après une bonne sieste devant la porte d'embarquement je monte à bord de la dernière étape de mon voyage, celle qui me mène à Sydney et l'Australie. L'avion est bien plus rempli que le premier mais j'arrive à dormir la majeure partie du voyage et ne voit pas vraiment le temps passer.
Arrivé à l'aéroport je suis surpris par les services de douanes et de sécurité qui sont pratiquement inexistants. Je rentre donc dans le pays sans montrer mon visa ou sans expliquer à qui que ce soit ce que je compte faire ici. C'est bien moins contrôlé que la Nouvelle Zélande et donc bien plus rapide =).
Après quelques minutes de recherche je trouve la navette qui va m'amener dans l'auberge que j'ai réservé : Chili Blue Backpackers et je saute dans la douche dès que j'en ai l'occasion. Maintenant il n'y a plus qu'à, je recherche toujours un véhicule et attend Jérôme avec impatience qui doit arriver à Sydney mardi matin si tout va bien.
Arrivé à l'aéroport je suis surpris par les services de douanes et de sécurité qui sont pratiquement inexistants. Je rentre donc dans le pays sans montrer mon visa ou sans expliquer à qui que ce soit ce que je compte faire ici. C'est bien moins contrôlé que la Nouvelle Zélande et donc bien plus rapide =).
Après quelques minutes de recherche je trouve la navette qui va m'amener dans l'auberge que j'ai réservé : Chili Blue Backpackers et je saute dans la douche dès que j'en ai l'occasion. Maintenant il n'y a plus qu'à, je recherche toujours un véhicule et attend Jérôme avec impatience qui doit arriver à Sydney mardi matin si tout va bien.