Après 4 jours sur Broome nous sommes remontés à bord de Digger direction le sud et un premier stop au parc national Karijini. Cet immense parc est rempli de gorges et chutes d’eaux réputées pour leur beauté et de nombreuses marches y sont possibles.
Une fois sur place nous n’avons pas été déçus. En trois jours nous avons fait une dizaine de marches, allant de quelques centaines de mètres à 9 kilomètres pour la plus longue. Lors de ces différentes marches nous avons nagé dans de nombreuses chutes d’eaux, marché tel spider-man dans une crevasse étriquée, vu de superbes paysages, escaladé quelques rochers et profité du beau temps et de la chaleur toujours bien présente en ce début de printemps (35 à 40° la journée).
Une fois sur place nous n’avons pas été déçus. En trois jours nous avons fait une dizaine de marches, allant de quelques centaines de mètres à 9 kilomètres pour la plus longue. Lors de ces différentes marches nous avons nagé dans de nombreuses chutes d’eaux, marché tel spider-man dans une crevasse étriquée, vu de superbes paysages, escaladé quelques rochers et profité du beau temps et de la chaleur toujours bien présente en ce début de printemps (35 à 40° la journée).
Après Karijini nous avons mis le cap sur la côte et la vue de l’océan nous a fait un bien fou, la chaleur combiné au désert et sable rouge qui nous ont entouré pendant près d’une semaine commençaient à être difficile à supporter. Seulement voilà nous ne nous attendions pas à vivre un tel choc thermique une fois arrivé sur la côte. Les vents forts et les températures bien plus basses nous ont fait sortir les pulls et pantalons, les baignades n’étant plus vraiment au rendez-vous nous nous sommes concentrés sur les balades, marches et points de vus.
C’est ainsi que nous nous sommes rendus vers des geysers naturels en bord de mer où nous avons eu la chance de voir des baleines. Là encore, nous ne nous attendions pas à faire une telle rencontre et elles nous ont fait l’honneur d’un petit spectacle à quelques centaines de mètres à peine de la côte.
C’est ainsi que nous nous sommes rendus vers des geysers naturels en bord de mer où nous avons eu la chance de voir des baleines. Là encore, nous ne nous attendions pas à faire une telle rencontre et elles nous ont fait l’honneur d’un petit spectacle à quelques centaines de mètres à peine de la côte.
Toujours dans l’espoir de voir des animaux marins nous nous sommes rendus à Shark Bay où on peut voir des dauphins sauvages qui viennent se nourrir chaque jour à Monkey Mia. Bien entendu l’endroit était bondé et près de 250 personnes étaient sur la plage lors du passage des deux premiers dauphins. Nous sommes restés en retrait et je me suis même aventuré dans les eaux non loin de ces magnifiques animaux. Deux d’entre eux se sont même intéressé à moi et sont passés tout près alors qu’ils repartaient vers le large.
Toujours à Shark Bay, Digger nous a conduit au travers du parc national François Perron accessible seulement aux véhicules 4x4. Une fois arrivés au cap nous avons pu voir un dugong ( ), une tortue, une raie et deux requins. Un petit requin de récif s’est aventuré très près de la plage dans l’espoir de voler les appâts des pécheurs postés sur le sable. Seulement celui-ci s’est fait bien peur lorsqu’un requin bien plus gros s’est mis à le poursuivre, tout ça sous nos yeux ébahis. Le pauvre petit requin à réussi à se défaire de son agresseur mais est venu s’échouer sur la plage. Je me suis donc rué vers lui et l’ai remis dans l’eau en le tenant par la queue jusqu’à ce qu’il s’en aille en toute hâte. La seule photo prise lors de cette rencontre inattendue montre le requin s’en allant en agitant sa queue en guise de remerciement.
Avant d’arriver à Perth, le terminus de ce road trip d’un mois nous nous sommes baladés autour d'un lac rose et dans trois autres parcs nationaux : Kennedy, Kalbarri et Pinnacles. Malheureusement le parc national Kennedy ne valait pas le détour de 500km que nous avons fait, mais Kalbarri et les Pinnacles étaient sur la route et valaient le coup d’œil. Tout particulièrement les Pinnacles qui offrent un spectacle peu commun et qui pose question.
Enfin, ce voyage sur la côte ouest nous aura fait quitter le pays pendant quelques heures. Cela n’a peut être pas beaucoup de sens pour vous et croyez moi vous n’êtes pas les seules.
Nous avons rendu visite à la famille royale de la Principauté de la province de Hutt River qui est selon la loi, un pays indépendant. Ce regroupement de maisons où seuls 12 personnes vivent fut créé en 1970 par Leonard George Casley qui trouva une faille sur l’appartenance de Hutt River. En effet cet endroit ne fut jamais déclaré comme appartenant à l’Australie lors de l’indépendance du pays. Du coup c’est aujourd’hui un état indépendant qui possède sa monnaie, ses timbres, son gouvernement etc.
Nous avons rendu visite à la famille royale de la Principauté de la province de Hutt River qui est selon la loi, un pays indépendant. Ce regroupement de maisons où seuls 12 personnes vivent fut créé en 1970 par Leonard George Casley qui trouva une faille sur l’appartenance de Hutt River. En effet cet endroit ne fut jamais déclaré comme appartenant à l’Australie lors de l’indépendance du pays. Du coup c’est aujourd’hui un état indépendant qui possède sa monnaie, ses timbres, son gouvernement etc.
Bien entendu tout ça est à prendre à la légère, même si les citoyens de la principauté y croient dur comme fer. Une rencontre et visite peu commune qui nous laisse avec quelques souvenirs et de nombreuses questions quant à la suite des évènements de ce pays….